- Vivre ou mourir me dit tu ? Je n'ai pas tout mon temps pour parler de ces sornettes, les deux sont un piège j'en suis certaine. Pourquoi me faire douter ainsi ?


Le félin avance d’un air sur de lui, le regard emplis d’étoiles et de sagesse, il fixe en ce moment la pleine lune luisant pour le plus grand bonheur de certain.



- Parce que la vie a pris tant de monde en ces terres, mais la mort s’affine de les récupérer tous qu’ils le veuillent ou non, mais connaît tu réellement quelqu’un aimant la vie ? Mais pire, plus de personnes choisissent la mort.

Doucement le chat au pelage couleur noir comme l’encre avance, il dépose sur son passage une sorte de poussière d’étoile, elle parait douce et limpide. Mais il ne faut pas regarder trop longtemps un félin des étoiles, l’on peut sinon partir avec lui avec son charme si reposant. Il avance, regardant d’un air mélancolique son camarade avant de le rejoindre et de lui toucher le museau en signe de respect.

- Je m’en vais, mais laisse tes proies venir dans ma dimension, la mort tu as beau être un félin des étoiles laisse partir se qu’il ne croit pas en vous cher ami… Dans une mort certaine. Le clan des étoiles est bien beau de tout là haut, mais il n’y a pas que lui, retient bien ces paroles, sur ce je vous laisse.

CHAP.

Les première lueurs de l’aube commence à faire mine d’apparaître. Quand à Etoile de la Délivrance elle figure en ce moment même dans sa tanière. Un jeune apprenti au pelage roux flamboyant tenait un petit campagnol robuste entre ses fines mâchoires, surement pour sa chef. Etourdis de fatigue, Etoile de la Délivrance lui fit signe d’avancer jusqu’à elle.
« Bonjour cher apprentis, que me vaut donc cette visite bien matinal ? »
Surpris le matou sursauta et en un bond il entra à présent honteux. Sa patte frôla le campagnol à la grande surprise de la meneuse.
Elle secoua la tête avec obstination avant de miauler :
« Je te remercie, mais j’ai déjà mangé un morceau, peut tu apporter ta proie aux anciens, ils seront surement ravis »
Avec un signe d’approuvassions le jeune matou sortit de la tanière. Soudain des guerriers entrèrent à leur tour dans la tanière précipité, une fois de plus un apprenti recroquevillé sur lui-même entra à sa suite, son pelage immaculé taché par le sang rougeâtre. L’odeur métallique du liquide posséda la tanière et donna ainsi la nausée à Etoile de la Délivrance qui demanda des explications.
« Un de nos apprenti est allé inspecter la frontière, mais il est revenu dans cet état disant que des blaireaux on envahit une partie de notre territoire. »
La meneuse fronça avec stupeur les sourcils. Des blaireaux, elle n’aime pas ça. De son long pelage elle toucha les frontières de la tanière avant de sortir avec hâte. Elle nomma quelques guerriers avant de se tourner vers le promontoire qu’elle escalada avec souplesse avant de miauler assez fort :
« Cher guerrier la patrouille de l’aube a décrété avoir vu des blaireaux sur notre territoire, sur le sentier menant chez les bipèdes, je vous demande donc d’être attentif et les apprentis de doivent en aucun cas sortir sans l’accompagnement obligatoire d’un guerrier. »
Après cette petite annonce la femelle voulut voir les lieux du « crime ». Elle se précipita dans la forêt, les Eguilles de pins lui tranchent les coussinets, ainsi que ses pattes mais elle retint son exclamation. Soudain elle arriva près de la frontière, qui est là ? Se sont les paroles que tu viens d’entendre ?
« Je suis Etoile de la Délivrance chef du clan de l’ombre et vous ?